à Lisbonne, Alfama, devant Le Musée du Fado
https://www.ipernity.com/blog/armando.taborda/272069
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Pour Lionel Deyna
Oiseaux Cartésiens
entourent grosses idées
à l'hauteur qu'ils dominent
petits rêves
peurs
utopies
comme projets d'âme.
Oiseux mammifères
attaquent en cercle
au crépuscule
en suite ils songent nuit
pendus en cavernes
où le soleil n'a pas d'accès.
Voix rasants
imprévues
poétiques
s'enfuient du chaleur de la chasse
attendent que le refroidissement des ailes
assure la vitalité
du vol.
by Armando TABORDA, 2010 (traduction de Maria da Nazaré), in "PALAVRAS QUE AS MARÉS APAGAM", Edição Escola de Mar, 2014 (versão original em Português)
(post 1st edition, 2010; 2nd edition, 2016; 3rd edition, 2020)
42 comments
Armando Taborda replied to :
Armando Taborda said:
Lebojo said:
Armando Taborda replied to Lebojo:
Armando Taborda said:
Christel Ehretsmann said:
tout en harmonie de couleurs
Armando Taborda replied to Christel Ehretsmann:
J.Garcia said:
Armando Taborda replied to J.Garcia:
Armando Taborda said:
Armando Taborda said:
cammino said:
Armando Taborda replied to cammino:
Malik Raoulda said:
Le miroir de l'aube said: