Et si je devais encore partir pour le pays obscur pour cette étoile que ne voient que les deux amants pour la solitude partagée des mots pour le rêve éveillé et pour le sommeil-surprise Si je devais encore sentir cet élan, là, vous savez, la peau les mots, la peau, les mots, la peau l'urgence, la douceur,cette étreinte de moi l'explosion dans la poitrine Si je devais me jeter encore à corps perdu dans cette antre de chair et d'encre, qui s'ouvrira pour offrir à mes échos sanglotants une terre de paix, une épaule d'enfance ?
3 comments
Armando Taborda said:
Anna Mélia replied to Armando Taborda:
Anna Mélia replied to :