Haunted indeed, one can easily imagine bats streaming from its broken windows at dusk and the weird shrieks of the "other world" rising from its cellar.
Beautifully composed.........I love the haunted house and it's situated perfectly in the frame. Such a beautiful location too. The light is just gorgeous.
Christel, vous avez beaucoup de belles photos, et tôt ou tard je les commenterai, mais pour l'instant, je veux m'arrêter sur celle-ci.
À première vue, il s'agit d'un paysage ordinaire : une maison au pied des montagnes, un pré, des arbres.
Mais plus on regarde, plus la scène captive, envoûtant par sa tranquillité et sa profondeur.
Cette photo attire par un rare sentiment : celui de l'isolement et du silence. Pas un silence oppressant, mais pur, transparent, presque curatif.
La maison blanche, perdue au bord de la forêt, semble fragile face à l'immensité des montagnes, mais c'est précisément cette fragilité qui génère une résistance particulière : un petit signe de la vie dans l'immensité de la nature éternelle.
La photo émerveille par le fait qu'elle arrête le temps.
Il n'y a ni agitation ni effets ostentatoires. Tout est naturel : la lumière claire, les lignes tranquilles des montagnes, le souffle invisible du vent. C'est un monde où l'homme n'est pas le maître, mais un invité temporaire.
La photo prend une force particulière grâce au contraste : entre la nature immense et éternelle et la présence silencieuse et presque invisible de l'habitat humain.
Les montagnes, les forêts, le ciel — et au centre de tout cela, une petite maison, signe que l'homme cherche et trouve sa place même dans le coin le plus silencieux.
Cette photo n'a pas pour but de DÉCORER la réalité — elle montre seulement un moment authentique de rencontre : entre la nature et l'homme, le grand et le petit, l'éternel et le fugace.
15 comments
Malik Raoulda said:
Bonne et heureuse fin de soiree reposante.
Boarischa Krautmo said:
Andrew Trundlewagon said:
Boro said:
PascalL said:
Annemarie said:
Wish you a peaceful day!
Patrick Brandy said:
Keith Burton said:
I would agree with Andrew's comments (above)!
⭐️
Pierre Pasqualini said:
William Sutherland said:
Armando Taborda said:
Roger Bennion said:
Annaig56 said:
Helmut Levitt said:
À première vue, il s'agit d'un paysage ordinaire : une maison au pied des montagnes, un pré, des arbres.
Mais plus on regarde, plus la scène captive, envoûtant par sa tranquillité et sa profondeur.
Cette photo attire par un rare sentiment : celui de l'isolement et du silence. Pas un silence oppressant, mais pur, transparent, presque curatif.
La maison blanche, perdue au bord de la forêt, semble fragile face à l'immensité des montagnes, mais c'est précisément cette fragilité qui génère une résistance particulière : un petit signe de la vie dans l'immensité de la nature éternelle.
La photo émerveille par le fait qu'elle arrête le temps.
Il n'y a ni agitation ni effets ostentatoires. Tout est naturel : la lumière claire, les lignes tranquilles des montagnes, le souffle invisible du vent. C'est un monde où l'homme n'est pas le maître, mais un invité temporaire.
La photo prend une force particulière grâce au contraste : entre la nature immense et éternelle et la présence silencieuse et presque invisible de l'habitat humain.
Les montagnes, les forêts, le ciel — et au centre de tout cela, une petite maison, signe que l'homme cherche et trouve sa place même dans le coin le plus silencieux.
Cette photo n'a pas pour but de DÉCORER la réalité — elle montre seulement un moment authentique de rencontre : entre la nature et l'homme, le grand et le petit, l'éternel et le fugace.
C'est là sa force — dans sa sincérité.
Christel Ehretsmann said: