Quand mon regard croise un pareil parterre de faces, je ne peux m'empêcher de me sentir minuscule et très humble. Un peu gêné aussi d'être un humain, cette race qui pense naïvement dominer cette planète. Je me dis que si chacun de nous cessait de critiquer et se mettait à balayer devant sa porte, cela pourrait peut-être modifier le cours des chose ... Allez, je vous quitte, il y a de la poussière qui s'accumule devant ... ma porte !