Quand je vois M. Copé défendre si rigoureusement notre belle nationalité française, je pense qu'il a raison.
Si mes ancètres, en 1926, avaient été aussi peu accueillants que lui, son grand-père, Marcu Hirs Copelovici, serait resté en Roumanie et le petit-fils nous ficherait la paix.
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