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LA POESIA
« Traduire, c’est mettre les pieds dans les chaussures d’un autre. Pour bien marcher, il faut être à l’aise, écarter doucement ce qui gêne les orteils, quitte à casser un peu la chaussure.»

Les mains


Vittorio Sereni, extrait de Frontiera (Frontière) – 1947


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Ton souvenir en moi


Vittorio Sereni, extrait de Frontiera (Frontière) – 1947

1 comment

HelenaPF said:

Merci ma libellule d'or....Bisous tendres
8 years ago ( translate )