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Cris d'enfants ou problèmes d'identité


J'ai deux mères.

Laquelle est ma mère?

Mais où est donc mon père?

D'ailleurs qu'est-ce qu'un père?


J'ai deux pères.

Lequel est mon père?

Mais où est donc ma mère?

D'ailleurs qu'est-ce qu'une mère?

Y a t-il un Père dans cette création?

Où est-il et que dit-il de cette situation?




Ouvre ta bouche pour celui qui ne peut s'exprimer... ( 1 )

( 1 ) La Bible - Proverbes chapitre 31 verset 8



Ecrit par Jean-Luc Rolland - janvier 2013


1 comment

eaudela said:

Peut-on choisir qui on aime? On le fait tous. On a des affinités avec certaines personnes plus que d'autres. Cela nous définit un entourage proche, amical. Tu dis: quand on ne se base que sur le physique pour définir un être humain, on se trompe! je suis ok. En premier lieu, je regarde quelqu'un comme un être humain comme moi. Et ainsi je vais le regarder comme un frère humain. Quelqu'un qui est une créature de Dieu comme moi. Même si certains aspects de sa façon de vivre ne me plaise pas. Par exemple, une connaissance alcoolique. Je peux aimer la personne sans pour autant aimer l'alcoolisme qui le tient captif. J'ai un collègue de travail qui est sympa, qui aime que les autres autour de lui rigolent. J'apprécie ses qualités, mais je ne peux aimer le fait qu'il dit un juron toutes les 5 minutes, sous-entendant que c'est la faute à Dieu la moindre des contrariétés qui lui arrive. Dans la même optique j'ai eu à cotoyer dans une de mes activités professionnelles un couple d'homosexuels, mes relations avec eux sont restés respectueuses. Même si leur pratique de vie ne correspond pas aux valeurs que j'ai données à la mienne, je n'ai aucune agressivité vis à vis d'eux. Je ne suis en aucun cas un juge pour les autres. Chacun vit comme il l'entend. Chacun aura à répondre pour lui-même de ce qu'aura été sa vie. Tuer au nom de Dieu n'est pas ma tasse de thé! Ce que je constate, c'est que le Dieu de la Bible n'apprécie pas l'homosexualité.
Que veux-tu, moi, ca me fait mal pour les enfants qui vont être "adoptés". Mon problème n'est pas le soi-disant droit aux homos d'être "père" ou "mère", mais le sort des enfants à qui on ne demande pas leur avis. Combien souffrent déjà de ne pas connaître leur père ou leur mère? Pour moi, cela fait des "familles" boîteuses. Bon, je me tais, il y a de quoi faire réagir tout ipernity!
12 years ago ( translate )