Dénuée de cette pudeur très chaude
l'arène vous offrait son ombre
un brin sorcière.
Je ne pouvais aller nulle part
j'étais attirée en avant, en avant
que le sang pût couler était quelque chose
qui semblait créer un monde neuf.
Aucune amertume ne manqua.
Une pensée fugitive
Au loin,
à la façon d'un homme sauvage
s'approcha
pour assister à la cruauté
2 comments
Anna Mélia replied to :
Armando Taborda said:
Ta voix "dénuée d'une pudeur chaude" remplit l'arène de la vie. Nous t'écoutons avec émotion.