Dans le souple des vagues
se boivent les amères larmes
et les sourires aux algues fondantes
A la seule onde de ton nom
je sais, comment porter
mon corps en ce monde
La mer frappe encore et encore
pour dénouer le sabre des hommes
et sauver le jour en écume
Le ciel se donne en partage
en gouttes serrées, en ondées
En blasphèmes incantatoires
Ce qui s'échappe là
ne regarde pas les hommes
La terre seule respire.
3 comments
Armando Taborda said:
Anna Mélia replied to Armando Taborda:
Armando Taborda replied to :