Mordre dans la solitude de la poésie
est l’acte de non retour
Plus que les souvenirs noircis sous les ongles de l’enfance
Plus que les langues molles et les dents gélatine de la junk food
On peut dormir cent temps de belle au bois
On peut danser tous les pas de deux imaginables
Les fumées se dissipent toujours
Les alcools font la gueule de bois
Un matin, on ouvre les yeux
La peau est là, qui attend les signes à l’encre
5 comments
Le miroir de l'aube said:
Armando Taborda said:
Anna Mélia replied to :
Anna Mélia said:
Le miroir de l'aube said: