John Gray, l'auteur des "hommes
viennent de Mars, les femmes
viennent de Venus", raconte
l'anecdote suivante:

Sa femme venait d'accoucher, le
bébé pleurait sans cesse, et, en
plus, Bonnie, sa femme, souffrait
horriblement.

Il devait aller au bureau ce
jour-là, et pendant qu'il était
absent, Bonnie se rend compte
qu'elle n'a plus de médicament
contre la douleur. Elle en
demande à son beau-frère qui
oublie de s'en occuper.

Quand John Gray rentre chez
lui, tard, sa femme lui dit
combien elle a souffert toute la
journée -- et, évidemment, John
prend cela comment un reproche.

La discussion s'envenime à tel
point que John s'apprête à
quitter la maison, furieux.

Bonnie lui dit alors quelque
chose qu'il n'a plus jamais
oublié depuis.

Quelque chose qui a changé sa
vie pour toujours.

Elle commence par l'arrêter:
"John, ne me quitte pas au moment
où j'ai le plus besoin de toi. Je
souffre et je n'ai pas dormi
depuis plusieurs jours. Je t'en
prie, écoute-moi."

Il s'arrête pour l'écouter.

"John gray, tu n'es qu'un amant
des beau jours. Tant que je suis
ta Bonnie aimable et gentille, tu
restes à mes côtés. Dès que je
vais moins bien, tu pars en
claquant la porte!"

Elle s'arrête, les larmes au
yeux.

"En ce moment, je souffre. Je
n'ai rien à donner. C'est
maintenant que j'ai le plus
besoin de toi. Je t'en prie,
viens ici et prends-moi dans tes
bras. Je ne te demande pas de
parler. J'ai seulement besoin de
sentir tes bras autour de moi.
S'il te plaît, ne t'en va pas."

John la prend dans ses bras...
...et sent de toutes les fibres
de son corps l'amour, le vrai,
l'amour inconditionnel.

Et vous, Abderrezak,
vous laissez-vous
quelquefois piéger par vos
pensées au lieu de laisser
s'exprimer votre coeur?

Vous arrive-t-il de prononcer
des paroles blessantes que vous
regrettez dès que vous les
prononcez?

Laissez parler vos sentiments
et votre coeur...