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Однодневная поездка за раздумьями. Питер встречает меня вокзальной суетой. Санкт-Петербург стал похож на красивую открытку, а Невский превратился витрину модного бутика заполненного сплошь брендами. Парадные фасады домов сияют чистотой и свежими красками, а окна смотрят на улицу пустотой равнодушия. Невский, лицо помпезности и роскоши города. Но во всем этом есть фальшь, не настоящность, в нем не осталось самого Питера, его души. Но остались Питерские дворы. Зайдя в любую подворотню открывается вся сущность Питера, его грязные, обшарпанные колодцы, стены которых тянуться к небу, солнце не может заглянуть в мутные глазницы оконных рам, вонючие парадные. Город похож на людей… за красивой одеждой, порой прячется весьма гнилое нутро. Питер срывает с людей одежду показывая человеческую суть. За приветливой улыбкой прячется фраза «ты тут не нужен», а за солнцезащитными очками, прячется равнодушный взгляд. Рваное небо, окаймленное колодцами дворов, с проходами – переходами в другие, ничуть не лучше дворы, в них можно заблудится, и сгинуть на веки. Облупившиеся, обшарпанные дома – с них сорвали кожу, и теперь они чувствуют этот мир каждым своим нервом. Ржавые водосточные трубы – рваные вены. Сгнившие пожарные лестницы – иллюзия спасение от пожара, крах надежды. В каком дворе валяются кусочки конфетти, мишуры и прочие обрывки нового года. К мусорным контейнерам сиротливо жмется уже давно никому не нужная елка, по снегу стелился елочный, серебристый дождик. Пересекаю двор, втаптываю в снег и грязь чей то праздник, чей то уже месяц как отпразднованный новый год, так бездумно выброшенный кем-то. Ближе к вечеру я добралась до набережной. Сфинксы, рожденные под знаком близнецов, смотрят на окружающий мир с высокомерным равнодушием, им нет дела до походящих мимо людей, до этого города, мира. Все это и есть Питер. Я вдыхаю воздух этого города и суть вещей становится яснее. Этот город сделал мне подарок, я получила ответы на свои вопросы. Стук колес успокаивает и клонит в сон. За окном проносится жизнь. Питер не держит меня. Со спокойной душой я возвращаюсь домой. Но Москва не простила мне маленькой изменой, встретив меня очередным циклоном ветром несущим в лицо мелкие иглы мокрого снега.
C'est le voyage la méditation. Saint-Pétersbourg me rencontre par l'agitation de la gare. Cette ville est devenue ressembler à une belle carte postale de voeux. La Perspective Nevski s'est transformé en la vitrine de la boutique de mode qui est remplie entièrement par des marques. Les façades principales des bâtiments brillent par la propreté et des couleurs vives, mais dans les fenêtres on peut voir le vide de l'indifférence. La Perspective Nevski est l'incarnation de la pompe et du luxe de cette ville. Mais sur cette avenue vous ne trouverez pas Saint-Pétersbourg véritable, vous ne trouverez pas l'âme de cette ville. Ici il n'y a que la fausseté, l'insignifiance. Mais les cours de Saint-Pétersbourg sont parvenues jusqu'à nos jours. Si vous passez dans n'importe quelle cour, vous découvrirez toute l'essence de Saint-Pétersbourg. C'est ses cours-puits sales et délabrées dont les murs s'étendent jusqu'au ciel. Le soleil ne peut pas jeter un coup d'oeil dans les verres ternes des fenêtres. Les entrées principales ont ouvert les gueules par des portes ouvertes. La ville est semblables aux gens. Parfois l'essence pourrie se cache derrière de beaux vêtements. Saint-Pétersbourg enlève des vêtements aux gens en montrant l'essence humaine. La phrase "ici, on n'a pas besoin de toi" se cache derrière un sourire amical, mais le regard indifférent se cache derrière des lunettes de soleil. Le ciel déchiré est bordé par les puits des cours qui ont beaucoup de passages dans les autres cours. On peut s'égarer dans ces cours et y disparaître pour toujours. Partout il y a les bâtiments qui sont pelées et délabrées, usées. Et alors ils ont perdu leurs peau et ils sentent ce monde par tous les nerfs. Les tuyaux de descente rouillés sont des veines déchirées. Les échelles de sauvetage qui sont pourriés il y a longtemps, sont l'illusion du sauvetage de l'incendie, c'est l'échec de l'espoir. Les morceaux du confetti, de l'oripeau et les autres restes du Nouvel An se trouvent à terre dans une cour. L'arbre de Noël qui a cessé d'être nécessaire il y a longtemps, se serre tristement contre des poubelles. La neige est couverte par les décorations de Noël. Je traverse une cour et je foule dans la boue et la neige une fête qui a été fêtée il y a un mois. Et puis cette fête a été jetée en dehors par quelqu'un sans réfléchir. Je suis parvenue au quai quand le soir est venu. Les sphinx qui sont nés sous le signe des Gémeaux, contemplent le monde environnant avec l'indifférence hautaine. Ils sont indifférents aux gens, à cette ville, à ce monde. Tout cela est Saint-Pétersbourg. J'inspire l'air de cette ville et l'essence des choses devient plus claire. Cette ville m'a fait un cadeau, j'ai reçu des réponses à mes questions. Le bruit des roues calme et le sommeil me gagne. La vie passe en coup de vent au delà de la fenêtre. Saint-Pétersbourg ne me tient pas. Je rentre chez moi en toute quiétude. Mais Moscou ne m'a pas pardonné cette petite trahison. Et la ville me rencontre avec un cyclone régulier et du vent qui touche mon visage par de petites aiguilles de la neige mouillée.
C'est le voyage la méditation. Saint-Pétersbourg me rencontre par l'agitation de la gare. Cette ville est devenue ressembler à une belle carte postale de voeux. La Perspective Nevski s'est transformé en la vitrine de la boutique de mode qui est remplie entièrement par des marques. Les façades principales des bâtiments brillent par la propreté et des couleurs vives, mais dans les fenêtres on peut voir le vide de l'indifférence. La Perspective Nevski est l'incarnation de la pompe et du luxe de cette ville. Mais sur cette avenue vous ne trouverez pas Saint-Pétersbourg véritable, vous ne trouverez pas l'âme de cette ville. Ici il n'y a que la fausseté, l'insignifiance. Mais les cours de Saint-Pétersbourg sont parvenues jusqu'à nos jours. Si vous passez dans n'importe quelle cour, vous découvrirez toute l'essence de Saint-Pétersbourg. C'est ses cours-puits sales et délabrées dont les murs s'étendent jusqu'au ciel. Le soleil ne peut pas jeter un coup d'oeil dans les verres ternes des fenêtres. Les entrées principales ont ouvert les gueules par des portes ouvertes. La ville est semblables aux gens. Parfois l'essence pourrie se cache derrière de beaux vêtements. Saint-Pétersbourg enlève des vêtements aux gens en montrant l'essence humaine. La phrase "ici, on n'a pas besoin de toi" se cache derrière un sourire amical, mais le regard indifférent se cache derrière des lunettes de soleil. Le ciel déchiré est bordé par les puits des cours qui ont beaucoup de passages dans les autres cours. On peut s'égarer dans ces cours et y disparaître pour toujours. Partout il y a les bâtiments qui sont pelées et délabrées, usées. Et alors ils ont perdu leurs peau et ils sentent ce monde par tous les nerfs. Les tuyaux de descente rouillés sont des veines déchirées. Les échelles de sauvetage qui sont pourriés il y a longtemps, sont l'illusion du sauvetage de l'incendie, c'est l'échec de l'espoir. Les morceaux du confetti, de l'oripeau et les autres restes du Nouvel An se trouvent à terre dans une cour. L'arbre de Noël qui a cessé d'être nécessaire il y a longtemps, se serre tristement contre des poubelles. La neige est couverte par les décorations de Noël. Je traverse une cour et je foule dans la boue et la neige une fête qui a été fêtée il y a un mois. Et puis cette fête a été jetée en dehors par quelqu'un sans réfléchir. Je suis parvenue au quai quand le soir est venu. Les sphinx qui sont nés sous le signe des Gémeaux, contemplent le monde environnant avec l'indifférence hautaine. Ils sont indifférents aux gens, à cette ville, à ce monde. Tout cela est Saint-Pétersbourg. J'inspire l'air de cette ville et l'essence des choses devient plus claire. Cette ville m'a fait un cadeau, j'ai reçu des réponses à mes questions. Le bruit des roues calme et le sommeil me gagne. La vie passe en coup de vent au delà de la fenêtre. Saint-Pétersbourg ne me tient pas. Je rentre chez moi en toute quiétude. Mais Moscou ne m'a pas pardonné cette petite trahison. Et la ville me rencontre avec un cyclone régulier et du vent qui touche mon visage par de petites aiguilles de la neige mouillée.
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