Arthur Rubinstein - Beethoven: Piano Concerto No.3 - Concertgebouw Orch. - Bernard Haitink (1973)
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"aux frontières de la folie
le cerveau déploie ses facultés
tatouages étranges
âme daltonienne
ironie du présent
fable inquiétante
Je regarde le monde avec les yeux d’un séraphin
les couleurs se mélangent
se blessent
Je régurgite la douleur
de mes aïeux
J’erre parmi les autres
en sursis
une fine pluie dorée
tombe sur mes rêves
je suis le gouffre du monde
sans fin"
17 comments
Malik Raoulda said:
Bonne et heureuse journée dominicale paisible et reposante.
Günter Klaus said:
Wünsche noch einen schönen Sonntag,liebe Grüße Güni :))
Eric Desjours said:
Ce que peut aussi suggérer ce poème comme surgi d'une hallucination rimbaldienne...
Le concerto tempère heureusement cette errance (j'aime le son chaleureux des cordes de cet enregistrement et le flegme mesuré de Rubinstein) et nous remet sur des rails poétiques plus raisonnés bien que soumis à la fièvre du compositeur.
Jeu subtile des couleurs et avec ce thème qui irrigue votre création, mon amie.
Original et ébouriffant !
Passez un dimanche apaisé et pondéré :-))
Julien Rappaport said:
Eric Desjours replied to Julien Rappaport:
Julien Rappaport replied to Eric Desjours:
William Sutherland said:
Admired in: www.ipernity.com/group/tolerance
Annemarie said:
Happy Sunday evening:)
Josiane Dirickx said:
.
Jocelyne Villoing said:
Pam J said:
HUGSSSSS
Hari Gorgo said:
Valeriane ♫ ♫ ♫¨* said:
Belle semaine ma chérie ! doux bisous♫
* ઇઉ * said:
Roger Bennion said: