Philippe Jaroussky . "Cum Dederit " and "Tecum Principium" by A. Vivaldi.
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Quand le temps s'arrête,
Quand l'espoir suspend son vol,
Quand la nuit s'apprête
A revêtir sa grande étole,
Quand la lumière s'éteint,
Quand aucun bruit ne vient
Troubler le long silence
Dans la chambre noire,
Quand les souvenirs s'agitent,
Teintés d'amours défuntes,
Quand les pensées s'effritent,
Sans laisser d'empreinte,
C'est là que ton absence
Rejoint mon désespoir.
9 comments
Nicole Merdrignac said:
William Sutherland said:
Admired in: www.ipernity.com/group/tolerance
Günter Klaus said:
Wünsche noch einen schönen Tag,liebe Grüße Güni :))
Maria W. said:
Helena, havu bonan semajnfinon:)))
Julien Rappaport said:
Mario Vargas said:
Patrick Brandy said:
Ulrich John said:
Eric Desjours said:
Expression d'un désespoir auquel chacun de nous est confronté un jour. Mais qui, bienheureusement, n'entrave pas notre élan vital soumis à tant d'épreuves...
Jaroussky atteint vraiment des sommets en interprétant Vivaldi. Ce "Cum Dederit" rend explicite la profonde dimension lyrique sous-jacente à votre création.
Merci pour ce bonheur contrasté mon amie.
Je vous souhaite beaucoup de courage pour l'épisode caniculaire de ces jours, particulièrement intense dans votre région.