Bouche de métro "Abbesses", métro parisien ligne 12 / 18e arrondissement, au pied de la butte Montmartre.
Hector Guimard (1867-1942) : édicule de type A à claire-voie installé en 1900 à l'Hôtel de Ville de Paris, déplacé en 1974 à la station Abbesses.
D'une inventivité formelle et d'une profusion typologique remarquables, à la fois architecturales et décoratives, Guimard devient la figure de proue de l'Art Nouveau en France dès la fin du XIXe siècle.
Au début du XXe, la Compagnie du Métropolitain Parisien organise un concours pour orner ses stations, qui se solde par une annulation devant le peu d'originalité des candidats. Le choix unanime se porte finalement sur les œuvres d'Hector Guimard, pourtant non-inscrit ! [
Wikipedia réécrit]
Un siècle après, ses bouches de métro restent les principales originalités du métro parisien, avec ses célèbres faïences de Gien qui ornent ses couloirs et stations, complétées par la suite par de nouvelles structures et ornements fonctionnels, d'un intérêt formel parfois remarquable.
Let's take the inner peace train with Abdullah Ibrahim, thanks to you, Hubs:
www.youtube.com/watch?v=d90FeFbckKk&t=10s
36 comments
William Sutherland said:
Malik Raoulda said:
Merci beaucoup pour toutes ces informations fort-utiles et très importantes.
Je vous souhaite une bonne et heureuse semaine paisible et salutaire.
Don Sutherland said:
Gillian Everett said:
Jaap van 't Veen said:
HelenaPF said:
Qui me marchent sur les pieds
Je bois dans tes cafés
Je traîne dans tes métros
Tes trottoirs m'aiment un peu trop
Je rêve dans tes bistrots
Je m'assois sur tes bancs
Je regarde tes monuments
Je trinque à la santé de tes amants
Je laisse couler tes Seines
Sous tes pentes, ta rengaine
Toujours après la peine
Je pleure dans tes taxis
Quand tu brilles sous la pluie
C'que t'es belle en pleine nuit
Je pisse dans tes caniveaux
C'est de la faute à Hugo
Que je picole en argot
Je dors dans tes hôtels
J'adore ta Tour Eiffel
Au moins elle, elle est fidèle
Quand je te quitte un peu loin
Tu ressens du chagrin
Ça me fait un mal de chien
Paris, parie, combien
Parie tout ce que tu veux
Boulevards des bouleversés
Paris tu m'as renversé
Paris tu m'as laissé
Paris, parie, combien
Parie tout ce que tu veux
Pari, pari, tenu
Pari, pari, perdu
Paris tu m'as laissé
Sur ton pavé
Je me réveille dans tes bras
Sur tes quais y a de la joie
Y a des loups dans tes bois
Je me glisse dans tes cinés
Je me perds dans ton quartier
Je m'y retrouverai jamais
Je nage au fil de tes gares
Et mon regard s'égare
Je vois passer les cafards
Sur tes bars
Je m'accroche aux réverbères
Tes pigeons manquent pas d'air
Et moi, de quoi j'ai l'air?
Paris, parie, combien
Parie tout ce que tu veux
Boulevards des bouleversés
Paris tu m'as renversé
Paris tu m'as laissé
Paris, parie, combien
Parie tout ce que tu veux
Pari, pari tenu
Pari, pari perdu
Paris, tu m'as laissé
Sur ton pavé
Je marche dans tes rues
Qui me marche sur les pieds
Je bois dans tes cafés
Nemchi ma drit werani
Kamel nass nsawni
Sammawni barani
Pam J said:
HelenaPF said:
youtu.be/lltF0b-oYRY?si=tcptNQGWxZXCvZtU
j'adore ce musicien et son trio.... Il va si bien avec vos deux prises de vue qui rendent l'atmosphère de ce quartier à merveille!
Léopold said:
Stephan Fey said:
Nouchetdu38 said:
Un beau témoignage intéressant d'une certaine époque*****
Bonne journée*****
Ulrich John said:
Jocelyne Villoing said:
Bonne soirée Eric.
sea-herdorf said:
Wunderschöne frühlingshafte Stimmung
Freundliche Grüße und eine gute Woche
Erich
Eric Desjours replied to sea-herdorf:
Danke und eine gute Woche für dich, lieber Freund.