Train touristique du Musée des Transports de Pithiviers.
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"Oh ! j'ai vu, bien des fois, l'aurore glorieuse
Que le printemps, en robe blanche,
Des féroces bourreaux que ma Vérité lèse,
Et vendez donc pour que tel se fâche ou se fiche !

L’eau qui sommeillait, pâle et paresseuse,
Une larme effleurant sa manche,
Elle y veut incrufier la nacre au bois de rose,
Dans l'horizon d'azur sur lequel il se penche !

Laisse les morts dormir dans le champ de la paix,
Le moyen, après tout, de garder son secret
Sous la pourpre flottante et l'airain rutilant,

Il se carre en Faublas, alors qu'en un bastringue
Philtre qui nous enivre et rend toujours naissant
Comme Cypris naquit de l'écume des vagues."

Source : Poème issu de l'Oupoco, Ouvroir de Poésie Combinatoire, qui s'inspire de l'Oulipo (projet original de Raymond Queneau) et intègre un nombre incommensurable de poèmes d’auteurs du 19e siècle, permettant la génération, semblable à celle de l'intelligence artificielle, d'une infinité de poèmes selon les critères multiples choisis par l'utilisateur.
Le projet n'a rien à voir avec l'IA générative mais veut, au contraire, promouvoir à la fois l'éveil poétique et ses perspectives émancipatrices aujourd'hui en voie d'extinction...
oupoco.org/fr.html

www.youtube.com/watch?v=9RPm82SUcM8&t=295s
Alkan: Le festin d'Esope