Ben alors ! Mon Régis on t'a pas vu hier !!! ta mobylette ???!!! Oui c'est ça .... ;o))
J'adore tous les films de Jean Becker. Jacques Villeret manque ... Mais Darroussin n'est pas mal non plus.
SUPERBE ***************
J'avoue ne pas être très ouvert à la poésie ( j'ai de gros sabots)...
J'ai trouvé ça pour décrypter le charabia précédemment cité...:-))
"
On ne dira jamais assez l'horreur de la guerre. On ne dira jamais assez l'horreur de la Grande Guerre (1914-1918), du moins pour les soldats et les civils. Vous avez déjà vu ces images de combattants dans les tranchées où la grenade lancée, de part et d'autre des lignes de feu, n'est pas un fruit? Ils ne sont pas dans un verger, mais dans d'effroyables jardins, dévastés. Que ne rêvent-ils pas de Grenade? de leur Grenade à eux?
«On leur avait pourtant promis une guerre de quelques semaines. Ce fut en réalité quatre longues années aux confins de la barbarie et de la bestialité. Un voyage au bout de la nuit sur lequel les soldats ont énormément écrit. Une forme de thérapie pour tenter d'exorciser l'horreur.»* Que pouvait-on donc écrire le poète-soldat Guillaume Apollinaire, si ce n'est des poèmes? En 1918, il publie au Mercure de France «Calligrammes, poèmes de la paix et de la guerre 1913-1916», qui contient justement, des calligrammes. Les deux vers cités en exergue d'Effroyables Jardins nous indiquent que Michel Quint a tiré ce titre de Calligrammes. Voici le poème au complet:"
une sympathique photo ! je ne sais pas si tu l'as prise "sur le vif" mais j'aime bien le cadrage : la voiture (qui colle au personnage), la fourche, un début du ballot de paille. En couleur ou en noir et blanc les deux me plaisent !
"J'ai de gros sabots " bon début pour un poème ou une chanson ..?
Avec ses gros sabots
Et sa petite ficelle
Voilà Régis qui nous emmène
Là où son pays de France est Hauts
Là où les filles sont belles ....
19 comments
Julien Rappaport said:
Et moi j'aime ta photo et tout et tout !
Boro said:
J'adore tous les films de Jean Becker. Jacques Villeret manque ... Mais Darroussin n'est pas mal non plus.
SUPERBE ***************
Régis Desailly replied to Boro:
Boro replied to Régis Desailly:
Régis Desailly replied to Boro:
Michel Quint habite à quelques encablures de chez moi...
Boro replied to Régis Desailly:
En est-il donc deux dans Grenade
Qui pleurent sur ton seul péché
Ici l’on jette la grenade
Qui se change en un œuf coché
Puisqu’il en naît des coqs Infante
Entends-les chanter leurs dédains
Et que la grenade est touchante
Dans nos effroyables jardins
Apollinaire
Gilbert H said:
Régis Desailly replied to Gilbert H:
Nicole Merdrignac said:
Régis Desailly replied to Boro:
J'ai trouvé ça pour décrypter le charabia précédemment cité...:-))
"
On ne dira jamais assez l'horreur de la guerre. On ne dira jamais assez l'horreur de la Grande Guerre (1914-1918), du moins pour les soldats et les civils. Vous avez déjà vu ces images de combattants dans les tranchées où la grenade lancée, de part et d'autre des lignes de feu, n'est pas un fruit? Ils ne sont pas dans un verger, mais dans d'effroyables jardins, dévastés. Que ne rêvent-ils pas de Grenade? de leur Grenade à eux?
«On leur avait pourtant promis une guerre de quelques semaines. Ce fut en réalité quatre longues années aux confins de la barbarie et de la bestialité. Un voyage au bout de la nuit sur lequel les soldats ont énormément écrit. Une forme de thérapie pour tenter d'exorciser l'horreur.»* Que pouvait-on donc écrire le poète-soldat Guillaume Apollinaire, si ce n'est des poèmes? En 1918, il publie au Mercure de France «Calligrammes, poèmes de la paix et de la guerre 1913-1916», qui contient justement, des calligrammes. Les deux vers cités en exergue d'Effroyables Jardins nous indiquent que Michel Quint a tiré ce titre de Calligrammes. Voici le poème au complet:"
Sylvie said:
Régis Desailly replied to Sylvie:
ROL/Photo said:
Boro replied to Régis Desailly:
Avec ses gros sabots
Et sa petite ficelle
Voilà Régis qui nous emmène
Là où son pays de France est Hauts
Là où les filles sont belles ....
Hélène Lombard said: