Jean-Paul Belmondo :a pratiquement toujours réalisé ses cascades, des fois ça se passe bien et d'autre fois c'est l'accident. Cette passion représentait la cohésion parfaite entre le sportif professionnel qu'il aurait voulu être et l'acteur qu'il était devenu.L'une des scènes les plus dangereuses :"L'homme de Rio ", " Tribulations d'un chinois en chine , il se cogna violemment un bras et se foula les doigts. Il du être pansé puis reparti aussitôt dans l'action. il se cogna violemment un bras et se foula les doigts.
-Foulure de la cheville dans les mariés de l'an ii -Cuisse déchirée et 10 jours de convalescence après avoir traversé une fenêtre vitrée dans "Le magnifique"- Main droite fracturée et déchirée, et félure du bras, lors de la cascade sur les toits des Galerie Lafayette dans "Peur sur la ville"...
Le retour
Un homme et son chien:
Réalisé par Francis Huster
Avec Jean-Paul Belmondo, Julika Jenkins, Francis Huster.
Il a accepté de revenir sur les plateaux à condition «que je sois filmé comme je suis, même si je marche avec une canne». Cette production raconte l'histoire d'un enseignant à la retraite vivant dans la misère avec un chien pour seul compagnon.
Charles et son chien.
Une veuve séduisante, Jeanne, sa logeuse, annonce son remariage à Charles et le met à la porte.
Elle fut sa maîtresse à la mort de son mari, le meilleur ami de Charles pendant leurs années de marine.
Sans autre ressource qu'une pension à peine plus élevée que le RMI, comme trop de personnes de son âge, la rue attend Charles.
Enceinte de père inconnu, Leïla, la jeune employée de maison ne peut lui offrir que son affection et son lumineux sourire.
En retour, Charles lui donnera beaucoup plus.
Aucune main ne se tend vers lui et sa dignité lui interdit de tendre la sienne.
Parce qu'il s'est toujours battu, cet homme, son chien à ses côtés, va continuer à se battre. Et lorsqu'ils se retrouvent seuls sur cette voie de chemin de fer le fracas du train qui fonce annonce-t-il la fin ou le commencement d'une autre vie ?
Depuis six ans, un accident cardio-vasculaire l'avait éloigné du cinéma.
Aujourd'hui, après un courageux combat avec lui même, il réaffronte les caméras.
2 comments
j-p l'@rchéo said:
J'admirais déjà ses guignolades quand il était au Conservatoire et qu'il fréquentait le bistrot CAPOULADE, à l'angle du Boul'Miche et de la rue Soufflot...
Ce qui date un tout petit peu...
j-p l'@rchéo said:
"Itinéraire d'un enfant gâté..."