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bureaux de poste
né dans une époque, maintenant disparue, où la France était une République et faisait partie du "monde libre" et où quand on entrait dans un bureau de poste (géré par des fonctionnaires) on était aceuillis comme des citoyens libres d'un pays libre, (et civilisé et sérieŭx et efficace), je ne peŭx qu'être horrifié de ce qu'est devenu la France, lisez :
Mépris des clients (comme les pères divorcés j’vous avais dit ! http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2013/11/22/capitalisme-actuel-comme-les-peres-divorces-5228118.html ) surtout des pauvres (racisme de classe), refus de leur laisser avoir accès à LEUR argent, flicaillerie hypocrite et Novlangue, « réduction des coûts salariaux pour faire croître les profits (et les gras alaires des « audits internes » ?) : voilà la France d’aujourd’hui (bien différente de celles de 1960 je peux vous le dire).

C’est pour quand une Révolution d’Octobre à la française ? On en aurait bien besoin.


"Les bureaux de Poste « aides sociales » représentent 20% des guichets et accueillent 37% des clients. Le bureau de poste qui fait l’angle de la rue Marx-Dormoy et de la rue Ordener, dans le 18e arrondissement de Paris, fait le plein en ce début août, comme chaque moic'est pour quand la révolution ?s lorsque tombent les prestations sociales. La clientèle est à l’image de ce quartier populaire où se côtoient des populations d’immigration plus ou moins récentes. Une vingtaine de personnes font patiemment la queue devant l’unique guichet bancaire ouvert, sous l’œil placide d’un vigile portant un brassard rouge "sécurité"

La Poste a établi en septembre un « diagnostic » de ces « bureaux à forts enjeux sociaux », qui représentent 20 % de ses guichets et accueillent 37 % des clients. Il révèle plusieurs dysfonctionnements. L’absentéisme y est de 40 % à 50 % supérieur à la moyenne nationale en nombre d’arrêts de travail, et « la couverture des absences » y est « insuffisante », reconnaît l’ « opérateur » public dans un document interne. Parmi les éléments d’explication, les organisations syndicales évoquent les tensions lorsque les files d’attente s’allongent, et le manque de personnel pour servir les clients"

Traduction: "1) En clair 37% des clients de la Poste sont pauvres, et

2) Si on supprime ces guichets c'est autant de bénéficiaires en moins. Donc l'Etat a trois solutions pour imposer des économies soit la fusion/baisse/suppression des aides sociales soit la radiation pour tous soit l'entrave/suppression des moyens de distribution".

J'y ajouterais le refus des salariés de La Poste d'aller à ces guichets d'où les absences "maladies". Plusieurs de ces salariés m'ont expliqué qu'ils n'en pouvaient plus de se faire insulter quand ils avaient interdiction de leur donner tous leurs fonds.