Un peu de musique brésilienne...Vive les vacances !! mdr
Le bonheur c'est d'être bien avec soi même pour être bien et en harmonie avec les autres.
Le bonheur, c'est un moment éphémère qu'il faut savoir saisir, reconnaître et apprécier. Ça peut être un sourire, un "je t'aime, maman", un oiseau qui passe, l'arôme des fleurs, un "merci", nos fous rires...
Ce sont des petits moments qui apportent une impression de sérénité.
Cette nuit j'ai pu observer mes petites puces en dormant...sentir leur respiration un peu saccadée, de voir, parfois même, l'esquisse d'un sourire....
C'était le plaisir de les dévisager, le bonheur de humer au creux de leur petit cou "leur odeur"; cette odeur si caractéristique qui leur est propre, (comme à chaque être).
Mon bonheur se situe là, toujours, avec et grâce aux miens, ils sont mon oxygène, car sans eux je ne pourrais plus exister...
Soyez heureux, vivez l'instant présent !
Bon début de semaine, mes ondes positives vous accompagnent.
Besitos♥.
Traduction en français.
"Sampa" :
Couplet 1 Couplet 2 Couplet 3
Il se passe quelque chose dans mon cœur
Et seulement quand je croise l’Ipiranga et
l’Avenue São João.
C’est qu’en débarquant par ici je n’ai rien compris
De la dure poésie concrète de tes coins de rue
Du manque d’élégance discret de tes jeunes filles.
Je ne connaissais pas encore Rita Lee, ta plus parfaite traduction.
Il se passe quelque chose dans mon coeur
Et seulement quand je croise l’Ipiranga et
l’Avenue São João.
Quand je t’ai affronté face à face je n’ai
pas vu mon visage
J’ai appelé mauvais goût ce que j’ai vu,
De mauvais goût le mauvais goût.
C’est que Narcisse trouve laid ce qui n’est
pas miroir
Et la pensée rejette ce qui
n’est même pas ancien.
Rien de ce qui existait avant
quand on n’est pas les mutants (1).
Et ce fut un début difficile
J’écarte ce que je ne connais pas
Et qui vient d’un autre rêve de ville heureuse
Apprend rapidement à t’appeler "réalité"
Parce que tu es l’envers de l’envers de l’envers.
Du peuple opprimé dans les files d’attente,
les quartiers, les favelas
De la force du pognon qui construit et détruit
de belles choses
De l'horrible fumée qui monte éteignant les étoiles
Je vois surgir tes poètes de champs et d'espaces
Tes bureaux de forêts, tes dieux de la pluie
Pan Amérique d’Afriques utopiques (2),
tombeau du samba (3)
Mais possible nouveau quilombo de Zumbi (4).
Et les nouveaux bahianais se promènent
sous ta pluie fine
Et les nouveaux bahianais peuvent bien t’apprécier
2 comments
Valeriane ♫ ♫ ♫¨* said:
Le Yin et Le Yang. A… said:
Je passais par là et...madre mia ma messagerie va éclater !!
Merci pour tout vous êtes des z'amours.
Bonne soirée, besitos♥ amigas mias...mouahahahahah