J'ai présenté un "trompe l'oeil*".
* je pourrais nommer cela une pirouette, une mise en boite ou (un trompe c...)


J'ai écrit qu'un plaisir coupable ne se confie pas.
Tout au plus peut-il être fortuitement découvert, voire partagé...
S'il est confié, il est un "péché mignon", habillé de bienséance.

Au vu des exemples présentés, il semblerait que ledit "plaisir coupable" soit un consommable, dans le sens littéral du terme (au hasard un péché de gourmandise), le plus acceptable possible, avec la dose de bonne conscience fédératrice qui l'accompagne : rationalisation, démontage d'une mécanique, dénonciation d'une exploitation d'autrui, de souffrance animale etc ...
Dans les situations extrêmes, "l'aveu" sera sous-tendu par un louable sens aigu de responsabilité écologique envers notre planète.
Passé ce seuil de culpabilité, il faut savoir mettre un terme au supplice de la consommation de ce toxique.

Le consommable peut aussi être un bien matériel, comme ces tissus pour la passion de la création (rien d'apparemment répréhensible en cette occurence) ou mes boîtes à.
Mes boîtes à, ne sont que la partie émergée de l'iceberg.
Qu'elles soient belles ou non, bien agencées ou non, importe peu.
Ce qui est important est leur contenu : dès lors, avec circonspection il faut réfléchir.
Dedans mes boites à, ne réside pas mon "plaisir coupable".
Dehors non plus.
Parce que je ne comprends pas cette notion de "plaisir coupable **".

Je comprends le principe du plaisir, que je trouve dans mes abominables expériences avec s7
Je comprends le principe de culpabilité, que jamais je n'éprouve, dans ces moments de souffrances infligées à mon avatar...


** Ce plaisir coupable ne peut-être banalement, qu'une "bricole" un poil pas raccord avec l'image que les "autres" ont de nous ...


Mais ... Je possède un truc immatériel, si évident que je n'ai aucun besoin de le cacher. S7 est la parfaite médiatrice de ce truc.
C'est réjouissant.