Quand j’ai écrit cette histoire à l’automne 2014, il n’y avait pas de confinement de la population et il n’était pas envisageable qu’il put y en avoir un. Cependant les pandémies existent depuis au moins 6000 ans avant J.C. Les dernières en date (Sida, maladie de Lyme, légionellose, Ebola, SARS-CoV (2003), MERS-CoV (2012) …) auraient dues nous mettre en garde.
Le fil des actualités de cette époque, m’a incité à consacrer un chapitre de cette histoire aux maladies virales et pour faire bonne mesure aux maladies génétiques. Tant qu’à plonger dans les utopies du moment, autant y aller sans retenue pour rester dans le ton de cette épopée fantastique ! (page 288 chapitre : Les jours sombres)
Les temps sont moroses pour beaucoup, Gaïa est vraiment malade, on nous le dit sur tous les tons, la prise de conscience est trop lente à mon goût, les évènements tels que ceux que l’on vit sont des coups de butoir qui vont se répéter dans l’avenir. Les gens réagiront alors contraints et forcés par les circonstances plus que par une adhésion aux comportements de bon sens, et ce, dans tous les domaines. C’est vraiment dommage. Pour un virus il y aura probablement une fin d’épidémie avec des traitements et un vaccin, pour le réchauffement climatique, pas de fin, ni de vaccin à attendre de notre vivant !
Suite aux messages de certains lecteurs, je sais que cette histoire leur apporte ponctuellement un peu de soulagement. De la prise de conscience, je ne pense pas, car ces lecteurs sont en général déjà convaincus par l’urgence d’agir, même si ce n’est pas à la manière particulière de Noël et Vickie. Ce livre est lui-même le troisième personnage de cette histoire à rêver debout !

Pourquoi une publication sur Ipernity ?
C’est un endroit où l’on ne s’attend pas à trouver un livre…
Je connais Ipernity depuis de très nombreuses années pour mes publications de photos. De très nombreux photographes ont une passion pour la nature et la façon de la sublimer par leurs clichés. Le social et la vie quotidienne ne sont pas oubliés. De plus la publication sur papier ne colle pas bien avec la préservation des ressources évoquée dans l’histoire, même si la publication numérique n’est pas exempte de consommation d’énergie. J’ai donc cessé d’éditer à la troisième édition sur papier.
Je préfère quand même lire un livre sur papier, peut-être par habitude et pour le plaisir de feuilleter l’objet, mais je réserve cela pour des œuvres importantes à mes yeux.
S’il vous lisez cette histoire, faites-moi savoir si d’après vous, il manque au tableau une ou plusieurs utopies actuelles que je n’aurai pas évoquées…
Je mets en favori des photos sélectionnées chez les uns ou les autres, et qui sont en rapport avec cette histoire : www.ipernity.com/doc/leon.regel/favorite elle s’affiche aléatoirement sur la page d’accueil à chaque visite.