Le poème en prose qui ouvre la série du 'Spleen de Paris' de Charles Baudelaire s'achève par:
"— J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas ... les merveilleux nuages! " où la ponctuation, d'ailleurs, est poétique.
C'est la saison des effets de nuages, des ciels-spectacles. Et sur ipernity nous sommes gâtés par nombre de belles photos de ciels emplis de nuages. Et il y a une part de chance dans ce type de photo quand le ciel vraiment s'offre à nous.
Un roman intéressant et agréable est 'La théorie des nuages' de Stéphane Audeguy.
Retournons à nos nuages!
5 comments
pimlico replied to :
Des nuages en reflets, ce serait sur la surface de l'eau, dans l'habillemnt d'un building, je suppose.
pimlico replied to :
pimlico said:
Christel Ehretsmann said:
et Baudelaire, encore ...
"Les plus riches cités, les plus grands paysages
Jamais ne contenaient l'attrait mystérieux
De ceux que le hasard fait avec les nuages..."
pimlico replied to Christel Ehretsmann:
Et j'aime beaucoup les "formes — et l'idée de regarder les nuages couchée/couché sur le dos, d'observer leurs transformations, continents, archipels, têtes ébouriffées, bêtes