BON, c'est promis je vais tout vous raconter puisque c'est ainsi... !
Et comme c'est dans mon habitude, je commencerai bien entendu par le célèbre : « il était une fois », encore merci à celle qui a osé...
Sans la lumière de l'univers, pas d'arc en ciel et surtout pas d'amour sous le soleil, mon bonheur est là en ce début de mois de juillet, malgré la pluie en abondance.
Le voyage sera long, croyez moi c'est certain, mais aucun regret et aucune doléance ne pourra faire valoir l'absence momentanée d'extase face à l'infini courage des saltimbanques.
Un seul mot : passion pourrait faire renaître l'harmonie perdue qu'elle soit champêtre ou ludique.
En effet la solidarité entre amis est encore une bienveillance, vous ne trouvez pas ? Surtout les grands jours d'anniversaire où ta présence est nécessaire. « Ah ben tu vas t'amuser pour tes 24 ans.. !. M'avait elle dit par compassion et un peu par légèreté quand même.
Bon, sérieusement , je n'allais pas non plus en faire une tartine ; comme on dit, sans dentelles et sans frou-frou non plus.
Bref le bruit qui court est sans nul doute le plus tueur, un peu comme un homicide organisé, externe à votre pensée.
En peinture la beauté d'un bouquet inaccessible qu'il soit de géraniums ou de fleurs des îles, saura vous réconforter en cas de fatigue ou de délire romanesque.
Et oui... ! Bordel...il est grand temps de procrastiner à cette heure tardive de la soirée, d'ailleurs c'est ce que je vais faire : remettre au 2 ce que je devais faire le 1er juillet et le résultat n'en sera que meilleur, c'est vous qui jugerez.
Je le savais , des félins de l'écriture vous y attendent...Mais Indignez-vous, il sera encore temps demain..
Votre passeport sera prêt pour le Mexique, pas d'injustice en vue, l'acceptation de vos projets est en cours.
Que les flibustiers cruciverbistes se montrent à l'horizon, qu'ils trouvent de nouveaux mots à caser dans leurs grilles de jeu. Une bouteille de champagne à la mer , les y attend, même si : anticonstitutionnellement parlant cette bouteille peut être contestée, tout cela est discutable sur le détail : vide ou pleine , elle restera dans l'optique du jeu.
L’appétence de l'asticot face à celle d’ornithorynque ne pourra vous éviter en aucun cas votre toux grasse avec ce froid de la nuit.
Celle-ci ne faisant que commencer. Bof.. ! Vous me direz, arrêtons de jouer ainsi l'amitié ne pourra être détruite. Un seul bravo et la générosité générale prendra le dessus. Nous resterons encore longtemps dans l'expectative face à ce laboratoire de création qu'est la Vie..
Demain votre œil ensoleillé à l'aube vivra des moments soulagés grâce à la tolérance. Vivre des journées exceptionnelles de lumière et de sexe. Assez de pataphysique à tout prix, revenons à des babillages embellisseurs . L'oeil se souviendra du voyage. Déchirez le passé et munissez vous d'un arrosoir afin que toutes les fleurs de vos jardins soient belles, aussi belles que la montagne dans la chanson de Jean Ferrat.
Pas de cornemuse non plus dans les raisins de la colère, Et tout cet enthousiasme dans l'écriture si simple à peaufiner ce que l'on appellera pour finir : le travail collaboratif, cher à mon ami Rashel.
Toutes mes cordiales pensées à celles et à ceux qui arriveront au bout de ce texte sans couac et sans « canard ».
Ce sera le mot de la faim... !
Atelier d'écriture du 2 juillet 2017 appelé « 82 mots à caser coûte que coûte... !!! »
1 comment
Pat Del said: