Sous la lune de mon œil
j’ai vu toutes tes femmes
se dresser et danser pour toi
des rêves d’images pixelisées
Sous la lune de mon œil
J’ai senti tous ces corps béants
dans lesquels tu déversais
ton encre bleue
Sous la lune de mon œil
j’ai appris à me disloquer
petites bouchées de chair
la becquée pour tes fantasmes
Sous la lune de mon œil
les arbres pleuvent, le corps s’égoutte
le sang se retire,
Au secours
Où sont tes bras, où sont tes bras, où sont tes bras ?
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Le miroir de l'aube said: