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Premiers soirs de printemps : tendresse inavouée...
Aux tiédeurs de la brise écharpe dénouée...
Caresse aérienne... encens mystérieux...
Urne qu'une main d'ange incline au bord des cieux...
Oh ! Quel désir ainsi, troublant le fond des âmes,
Met ce pli de langueur à la hanche des femmes ?
Le couchant est d'or rose et la joie emplit l'air,
Et la ville, ce soir, chante comme la mer.
Albert Samain
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11 comments
vero said:
de l'art d"une formidable passionnée au grand coeur et pleine d"amour je t"embtasse tràd fort mon Héléna
Dominique 60 said:
Marie-claire Gallet said:
Pam J said:
Dutt Changgle said:
Nora Caracci said:
(comme nouvelle administratrice, petit à petit j'irai à accepter les nombreuse photos proposées il y a long temps...)
(as new administrator, I'll accept little by little the photos now in the queue, proposed times ago...)
BISES !
cammino said:
Nicole Merdrignac said:
Valeriane ♫ ♫ ♫¨* said:
Eric Desjours said:
Cet encens mystérieux, peut-être panaché de phéromones, vous le peignez fougueusement en une vague chatoyante et hypnotique... Votre création est splendide, et cette belle interprétation du Parrain par Hauser lui confère une dimension incroyable !
Bon dimanche ma chère Héléna, et merci pour ces splendeurs que vous nous offrez !
Soeradjoen (limited… said: