HFF qui tient la rampe !
Toile monumentale de (touche Z)
PAT STEIR (1938 ou 1940 ?
PEACOCK WATERFALL, 1990
Huile sur toile
Artiste peintre américaine, Pat Steir développe une approche expérimentale de la
peinture. Conservant de Jackson Pollock la relation entre la peinture et la réalité à
travers la coulure (phénomène d’attraction terrestre, enregistrement du temps à
l’œuvre dans l’émergence de l’image), elle s’apparente aussi à l’art minimal dans sa
volonté de détacher son geste de toute expressivité.
Sur un fond monochrome, le pinceau chargé d'une matière fluide et très diluée laisse
une trace tandis que le surplus de peinture glisse jusqu'au bas du tableau. La
capacité du matériau à s'étendre est utilisé dans le sens vertical, il se déverse, en
cascade. Ce tableau laisse voir les traces résiduelles du spectacle de la peinture :
coulures, éclaboussures. Ces accidents sont provoqués volontairement par un
dispositif méthodique et impersonnel.
L’escalier participe de l’œuvre. Elle souligne sa fonction d’apparat et permet au
visiteur de l’apprécier sous différents angles, en mouvement et en détails.
Lieu/
L’escalier : espace de transition, d’apparat / rapprochement entre la bichromie du
site et l’œuvre
Position/
Mobile : L’œuvre se regarde sous différents angles, la position sur le centre de
l’escalier révèle les détails / la descente et la montée accompagnent ou
contredisent l’effet dynamique de la cascade.
Conservation/
La toile est montée sur châssis. L’œuvre participe de son espace mais en est
dissociée
More information
Visible by: Everyone
All rights reserved
-
Taken on Sunday March 31, 2024
-
Posted on Thursday April 11, 2024
- 56 visits
- 17 people like
13 comments
Don Sutherland said:
Malik Raoulda said:
Dimas Sequeira said:
LotharW said:
Julien Rappaport said:
Jaap van 't Veen said:
hFF
Annemarie said:
Gudrun said:
Stephan Fey said:
William Sutherland said:
Xata said:
Bergfex said:
Trudy Tuinstra said: