A voir en grand écran sur fond noir
Franck: Violin Sonata / Mutter Orkis (1989 Movie Live)
www.youtube.com/watch?v=XTTTqD113_U
Les mots absents sous ma main caressent ton nom
Et l’absence des courbes de ton corps absent
Vienne l’absence qui ride par l’absente absinthe
Et s’élève absent le cri psalmodié du silence
Revienne à l’absence le souvenir en vain
Brise la voix de l’absent et l’ouragan silence
Et le verre plein se vide et s’absente le vin
Pour qu’en moi tu vives et en sois le levain
Où se terre le cri où se cache l’absence
Au bout de moi est un long silence
Immobile et froid sous les rides d’airain
Murmures absents m’emmurent en silence
Et les mots comme à ton corps la présence
Rêvent ma main et caressent tes reins.
20 comments
Amelia said:
Annaig56 said:
HelenaPF said:
Julien Rappaport said:
Marie-claire Gallet said:
J'adore ces couleurs !!!!!!!!!!!!
Nora Caracci said:
Ulrich John said:
Nicole Merdrignac said:
Jocelyne Villoing said:
╰☆☆June☆☆╮ said:
here in ✴ Digital Dreams ✴
William Sutherland said:
Admired in:
www.ipernity.com/group/tolerance
Pam J said:
Martine said:
* ઇઉ * said:
Eric Desjours said:
Tout cela est purement grandiose, ma chère amie; et tellement touchant, comme nous l'inspire ce poème, cette ode quasi testamentaire, ce cri tout à la fois virulent et retenu.
(1) : je veux croire que Stravinski, plus encore que Schönberg, représenta le démon qui inocula durablement l'atonalité à la musique occidentale. Votre oeuvre m'évoque son exubérance créatrice, son inspiration diabolique qui chamboula définitivement le paysage musical contemporain.